Communiqué de presse 20 mars 2024
Aujourd’hui, 20 mars 2024, Olivia Maurel, née d’une mère porteuse et porte-parole de la Déclaration de Casablanca, et Bernard Garcia, Docteur en droit et coordinateur de la Déclaration, sont à New York pour la 68e session de la Commission de la condition de la femme, pour participer à un side-event (13h15-14h30) sur le thème :
Un coût trop élevé : Mettre fin à la gestation pour autrui maintenant
Prévenir l’exploitation et la marchandisation des femmes et des enfants
L’événement sera retransmis en direct via UN WebTV HERE
Alors qu’un nombre croissant d’États cherchent à interdire ou à limiter cette pratique pour diverses raisons juridiques, morales et éthiques, cet événement examinera en particulier le lien entre la vulnérabilité économique et l’exploitation des femmes à des fins de reproduction.
S’appuyant sur la dynamique croissante en faveur de l’abolition de la maternité de substitution, l’événement plaidera pour que les États et la communauté internationale œuvrent à l’adoption d’un instrument juridiquement contraignant interdisant cette pratique sous toutes ses formes.
Cet événement discutera de la nécessité d’élaborer et d’adopter un instrument international juridiquement contraignant interdisant la gestation pour autrui sous toutes ses formes.
Intervenants:
• S.E. Mgr Gabriele Caccia, Nonce apostolique et Observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations Unies
• Olivia Maurel, porte-parole de la Déclaration de Casablanca, née par maternité de substitution
• Giulia Bovassi, doctorante, bioéthicienne, chercheuse associée UNESCO BioChair, professeur adjoint à l’Université Anahuac
• Herveline Urcun, Observatoire de la Procréation Assistée
• Bernard Garcia-Larrain, Docteur en droit, Juristes pour l’Enfance
• Giorgio Mazzoli, directeur du plaidoyer auprès des Nations unies, ADF International (modérateur)