Les signataires

Ils sont signataires de la déclaration de Casablanca,

René Frydman, obstétricien, gynécologue des hôpitaux de Paris et professeur à l’université de Paris, ancien membre du Comité consultatif national d’éthique et de la Commission nationale consultative des droits de l’homme, France

Jorge Cardona Llorens, professeur de droit international public à l’université de Valence, membre du comité des Nations unies sur les droits de l’enfant, Espagne.

Fatimetou Maham, militante SDSR, santé publique, pionnière dans la lutte contre le VIH-SIDA. Président de la première ONG thématique de lutte contre le VIH/SIDA Stop Sida, Mauritanie.

Jiten Singh, ancien juge de la Haute Cour de justice, Fidji.

Hassan Abdelhamid, doyen fondateur de la faculté de droit de l’université britannique en Égypte.

Denis Chang, professeur honoraire à la faculté de droit de l’université de Hong Kong et président du conseil de l’université Saint Francis de Hong Kong.

Georges Nawfal, docteur en gastro-entérologie pédiatrique, Liban

Diaâ Sfendla, professeur de droit, vice-doyen et directeur du Centre d’excellence, Université Ibn Tofail – Kenitra, Maroc.

Sonnie Ekwowusi, avocat, président du comité des droits de l’homme et des droits constitutionnels de l’Association du barreau africain, Nigeria.

Lindolfo Mendoza, médecin expert en médecine fœto-maternelle, membre de l’Académie de médecine, Paraguay.

Hana Konecna, Ph.Dr. Psychologue, République tchèque

Elena Postigo, philosophe, bioéthicienne et professeur d’université, directrice de l’Institut de bioéthique de l’université Francisco de Vitoria, Espagne.

Faratiana Esoavelomandroso, doyen de la faculté de droit et de sciences politiques, université d’Antananarivo, Madagascar.

Roberto Andorno, juriste, écrivain, docteur en droit, spécialisé dans les questions de bioéthique, professeur associé à la faculté de droit de l’université de Zurich, Suisse, etc.

 

La liste des 100 premiers signataires de la Déclaration a été publiée dans Le FIGARO du 3 mars 2023 ICI.

Il s’agit d’experts de différentes disciplines, principalement des juristes, des médecins, des psychologues, des sociologues, des philosophes…

Nombre d’entre eux consacrent une partie ou la totalité de leurs recherches et de leurs travaux à ce sujet et ont de nombreuses publications à leur actif.

 

Leur point commun ? Leur volonté de soutenir la demande faite aux Etats de s’engager dans une Convention internationale pour l’abolition de la gestation pour autrui.

Pour le reste, ils sont très différents :

  • Des nationalités et des cultures aux antipodes les unes des autres.
  • Ils viennent de pays qui fournissent des clients à la gestation pour autrui ou, au contraire, de pays dont les femmes sont utilisées comme mères porteuses.
  • Ils viennent de pays qui interdisent ou au contraire autorisent la gestation pour autrui.
  • Ils ont, sans aucun doute, des convictions variées, des engagements politiques différents (aucune question ne leur a été posée sur ce point !).
  • Certains sont impliqués dans des ONG, des mouvements, des structures, tandis que d’autres ne le sont pas.
  • Certains viennent de pays actuellement en conflit les uns avec les autres.
  • Il y a des femmes, des hommes, des jeunes, des seniors, des professeurs d’université, des praticiens, etc.

Ils incarnent ainsi la dimension internationale, humaine et universelle qu’ils entendent donner à cette initiative.

 

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